Partir au monde

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Découvrir en soi...

jeudi 28 juillet 2022

 

La solitude

Nul besoin d’être seul pour se sentir seul. Albert Einstein a affirmé « Je trouve étrange d’être si universellement connu, et pourtant si perpétuellement seul ».

Le sentiment de solitude fonctionne un peu à la manière du sentiment de pauvreté ; il est subjectif. Une personne peut être terrifiée à l’idée d’être seule, une autre entrevoit cela plutôt comme une délivrance, la possibilité de se libérer des exigences des autres.

Le sentiment d’isolement découle d’un besoin non comblé en matière de contact social et non du fait d’être seul. Il peut donner l’impression d’être absent ou déconnecté des autres. Il peut miner la personnalité et détruire l’aisance sociale. Il peut également être extrêmement douloureux, accablant et d’une morosité dévastatrice. À l’opposé, pour d’autres, il peut donner une intensité toute particulière à la vie, voire un certain réconfort.

Il existe des moyens de briser la solitude si elle nous fait souffrir. Un bon exemple est le bénévolat. Il permet d’aller vers autrui, de s’impliquer, de créer des liens sociaux et de se sentir utile. Sortir de chez soi permet aussi de se mettre en contact. Une simple marche nous permet de croiser des gens et de leur sourire, ce qui n’est pas à négliger pour le sentiment de bien-être. 

Il est aussi facile de s’impliquer pour permettre à quelqu’un de se sentir moins seul. Un regard bien intentionné, un sourire, un petit coup de téléphone, une lettre ou une invitation peut changer une vie. L’important est d’être attentif aux signes de souffrance morale de l’autre. N’y soyons pas indifférents, une simple attention peut tout changer !

Ici, l’APRQ R-P+ est là pour vous si vous en ressentez un besoin .  


Pitou XXVIII -VII